Il y a un point commun fort sur certaines photos, et ce n’est pas une question de personne. C’est une affaire de passion. Celle qui anime les jeunes vétérinaires qui consacrent leur thèse à des sujets numériques, visionnaires, parfois même avant leur temps.

C’est cette passion que Grégory Santaner a eu la chance de croiser en 2019, lors de la première remise du Prix de Thèse Vet IN Tech dont il était reponsable en tant que co-fondateur et membre du bureau de l'association de la e-santé animale.

Retour en 2019 : quand tout a commencé

La première édition du Prix de Thèse Vet IN Tech a été un tournant. En tant que coordinateur de ce prix au sein du bureau de Vet IN Tech, Grégory Santaner a voulu mettre en lumière les travaux de jeunes vétérinaires explorant les enjeux du numérique.

La lauréate, Roxane Perrin, avait alors soutenu une thèse avant gardiste sur l’intelligence artificielle en médecine vétérinaire. Quelques semaines plus tard, elle arpentait les allées du CES de Las Vegas aux côtés de Grégory. Une rencontre professionnelle devenue amitié durable, preuve que l’innovation crée aussi des liens humains solides.

2025 : transmettre autrement

Six ans plus tard, si les cheveux ont un peu blanchi, l’engagement est resté intact. Même si Grégory Santaner n’est plus membre du bureau de Vet IN Tech, il reste profondément attaché à la mission du Prix de Thèse.

C’est désormais via VetoNetwork qu’il poursuit ce soutien, en tant que partenaire financier de l’initiative, aux côtés, pour cette année 2025, de Royal Canin, Agria Assurance pour Animaux, Alcyon France, Fovéa et Chêne Vert.

Cette édition 2025 a permis de récompenser Sandra Fourel, une jeune vétérinaire elle aussi animée par son sujet de thèse : la création d’un scribe numérique pour les praticiens, projet qu’elle concrétise déjà à travers sa start-up ReqVet.

Comme Roxane Perrin en 2019, Sandra Fourel a démontré une énergie et une sincérité remarquables, qui vont bien au-delà de la simple maîtrise technique.

La passion, moteur de l’innovation

Qu’il s’agisse d’intelligence artificielle ou d’aide à la rédaction médicale, le vrai point commun entre ces lauréates n’est pas leur sujet, mais leur passion. Celle qui pousse à creuser, à entreprendre, à défendre une idée avec sincérité.

Et c’est bien cela que VetoNetwork tient à saluer et encourager : l’engagement humain derrière l’innovation technologique.

Vivement les prochaines éditions, car de nombreux jeunes vétérinaires prometteurs étaient présents à NUManima 2025 et préparent, eux aussi, des thèses qui feront parler d’elles. Agathe Heroux et Nathan Pizzini, entre autres, sont à suivre de près…

Chez VetoNetwork, nous continuerons à soutenir ces passions qui façonnent la santé animale de demain.

Pour en savoir plus :

📄 Page consacrée au Prix de Thèse Vet IN Tech

📄 Actualités Prix de Thèse 2025 sur le site de La Semaine Vétérinaire